Samedi 16 décembre 2006 à 0:05

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Non je n'avais pas particulièrement envie de faire de pub à cette jeune fille seulement voilà.

Page 1 : L'article " * "
Page 2 : Les articles "Les sucettes à la framboise." ainsi que "A deux."
Page 3 : L'article "Il fait trop de bruit en ce moment. D'ailleurs."

Ces quatres article sont de moi. Merci. Au revoir. Je suis déçue.
Qu'elle efface, qu'elle efface, qu'elle efface. et vite.

Vendredi 15 décembre 2006 à 1:13

Je n'arrive pas à m'endormir.
Je crois que je suis un peu bloqué.
Je suis bloqué.
Bloqué sur toi.
Tu es là, face à moi.
Je n'avais jamais vraiment eu le temps de prendre le soin de t'observer.
Je découvre une personne plus passionnante qu'auparavant.
Elle me réchauffe le cœur.
Tu m'emporte ailleurs, malgré toi.
Merci d'être là.
Fais-moi rêver.
Emporte-moi.
Enlève-moi.
Bloqué.
Je suis bloqué.
Flyover. Flyover. Flyover.
Rescue me.
Jess?
MaJess?
Cœur?
Ma Tulipe?
Majestueuse?
La fleur d'Amour se cultive au quotidien.
Elle a besoin d'une terre de tendresse.
Jess?
Jess, tu me fais un câlin?
Jess?
Jess, blottis-toi contre moi.
Jess, je peux poser ma tête là?
Juste là.
Au-dessus de ta poitrine, dans le bas de ton cou.
Laisse moi me poser, laisse-moi-m'en aller.
Jess.
Jess.
Encore.
Jess.
Jess, dessine-moi une maison.
Mon esprit grand ouvert vers une chose que je redoute.
J'observe.
Patiente.
Me torture.
Pense.
Bloque.
Aime.
Admire.
Idolâtre.
Jess.
Jess.
Tu m'attends?
Jess, c'est toi je crois.
C'est toi, pourquoi pas.
Jess, je ne suis pas bien.
Jess, je ne suis pas sérieux.
Jess? Faut-il être sérieux?
Be serious?
Or not?
Not? Dance with me.
Not? Love me.
Not?
... please, protect me. (L)              

Jeudi 14 décembre 2006 à 22:44

Jeudi 14 décembre 2006 à 22:25

Mes cheveux humides me glacent. Ce matin j'ai ouvert les yeux à 5:20 sans aucune fatigue. Alors je suis descendu de mon lit. Mon corps nu instantanément couvert de frissonements tandis que j'allumais la petite lampe. J'ai pris mescollants ma serviette de douche et j'ai filé sous l'eau chaude. Les montagnes sont précises. Elles se dégradent et partent dans le mauve. J'ai feuilleté Glamour devant mes chocapic. Recouvrant maladroitement la table en lino de gouttes de lait. Aujourd'hui c'est le roman photos.Et mon appareil est toujours cassé. J'ai courru pour atteindre l'arrêt de bus. Moins pour arriver à l'heure que pour me réchauffer. J'ai dix minutes d'avance mais courir ça réchauffe. J'ai appris ça en endurance. Mes cheveux humides atteignent mon col. Je les y retire d'un geste brusque. Ce soir Max m'a piqué mon portable à son cours d'escalade avant de partir en courant direction les vestiaires. Le poursuivant j'ai croisé tout une hordes de basketeurs en plein changeage. Mon étonnement fut intense. Et le leur également. Je fis une mini crise de paraplégie d'une demi seconde avant de reprendre ma course. Je rêve où une blonde en manteau bleu vient de traverser notre vestiaire?

Mercredi 13 décembre 2006 à 21:26

                       Je suis d'humeur joyeuse. D'humeur à me coucher tôt pour lire un peu. Et de fermer les yeux très vite en pensant que demain sera chouette. Demain c'est roman photo toute la journée. Roman photo comme le truc bête à la fin du magasine Girls. Demain matin il faut que je me douche et que j'enfile un truc où je me sens bien dedans. Faut que je puisse courir et replier mes jambes sous mes fesses quand je m'assois. J'en ai envie. J'écoute Kaolin et mon pieds froid se glisse à l'arrière de mon genoux. C'est glacial. Mes poils de bras se lèvent. J'ai mon bracelet j'aime pas le jeudi pour demain. Dessus c'est même écrit en italien non mi piace il giovedi et en japonais mais mon clavier ne dispose pas des kanji. Mais pour l'instant ferme tes yeux passe ta main dans mes cheveux lalalalaaa… Mon sac de grand-mère est cassé. Je le porte sous mon bras droit. Et la journée je le laisse dans mon casier et je ne prends que mes cahiers et mes stylos dans mes mains. Je porte ça comme les filles de la télé avec leurs encyclopédies et leurs uniformes. Ca fait presque sérieuse. Je parle et je parle et je parle. Mais God save la France m'attend dans mon lit douillet et j'avais promis de l'y rejoindre vite.

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