
l'autre soir, le retour de 5h du matin était tellement agréable
que j'aurais pu marcher dix kilomètres de plus.
quand on marche dans la nuit, et que l'on croise soudain quelqu'un,
on sent forcément, que l'on a quelque chose en commun.
une chose infime, une cause qui fait que l'on se retrouve
éveillé, à marcher dans la rue, trop tôt le matin, ou trop tard le soir,
l'un comme l'autre. et c'est assez drôle, à vivre, mais je pense
qu'avec le temps, on se fiche, de croiser des gens.
cette image est la photo d'un salon que je ne reverrai pas,
il appartient maintenant à d'autres enfants, qui feront des enfants,
qui utiliseront la piscine, construite par papi, et mamie, et vendue.