Lundi 30 juillet 2007 à 3:12

Voici mes petits mots de vacances :)
accompagnés de la pellicule photo yoyomoncousinchéridamouuur & moi

Midi du 14 juillet - Nice
Ici il y a le soleil et les paroles faciles. Les gens souriants qui arpentent les rues. Vont acheter du pain regagner la plage ou faire une salade composée avec beaucoup de couleurs dedans et des choses croquantes et niçoises. Ca fait du bruit sous les canines les nappes sont pleines de fleurs et des sons inhabituels se glissent entre les rideaux pour entrer par la fenêtre en même temps que le petit air venant tout droit des vagues pour l'après-midi. Ca sent le café à la cuisine. Les uns s'affèrent à la vaisselle, les autres préparent les serviettes et les maillots. J'ai pris la route de Hyères à Nice. Atterrissage promenade des Anglais plages de galets nous allons chercher le restaurant où travaille Yoann. Pas programme juste celui de divaguer entre sable et sel. Trouver l'eau gelée en y trempant les pieds. Profiter du soleil de fin de journée, enfiler des tongs pleines de sable qui gratte et trouver ça très estival.

Au petit matin du 15 juillet
Il y a tellement de livres que je passe mes nuits à les contempler. A en lire le titre sur la tranche, à les sortir un par un pour observer la couverture, lire le petit résumé, au dos. Tout en sachant pertinemment que la courte durée de mon séjour ne me permettra pas d'en lire un en entier. En réalité j'aimerais avoir le temps nécessaire pour pouvoir tous les lire en les choisissant dans l'ordre exact de leur disposition. J'aimerais aussi demander à Yca si elle les a réellement tous lu. Et aussi ceux de l'entrée, les dizaines de recueils de poèmes, et ceux des toilettes. J'aimerais tous les lire minutieusement jusqu'à trouver celui qui changera quelque chose à ma façon de penser. Celui que je pourrais relire encore et encore en trouvant toujours des choses invisibles à la lecture précédante. Comme lorsque l'on fait la poussière et qu'il y a toujours quelques particules qui retombent alors on peut nettoyer encore longtemps tout en sachant qu'il en retombera à chaque fois quelques unes. Il me faut un livre à particules. Inépuisable.

Dans l'après-midi du 15 juillet

Le visage enfouie dans le matelat pneumatique je voyage au fil des flots. Je zigzague sur mon navire en plastique. Droite, gauche, avant, arrière. Je me dirige à coups de pieds et de bras énergiques. Des têtes de nageurs dépassent de l'eau que j'esquive aussitôt. Je vais jusqu'à la bouée. On va toujours jusqu'à la bouée, la rouge et blanche rayée, ou la jaune, pour les plus courageux. La plage au loin ressemble à une fourmillière après que l'on ai donné un bon coup de pieds dedans. Des petites bestioles qui marchent qui cheminent le long du bord qui entrent dans l'eau qui en ressortent. Je cesse mes mouvements afin que les vagues me ramènent d'elles même jusqu'au sable.

Dans la nuit du 16 au 17 juillet

Il est 2h 41 et je sais que je ne fermerais plus l'oeil de la nuit. Lou est recroquevillée à côté, les lits de refuge sont marrants car on a un grand lit tout long pour au moins vingt personnes. Pareil en bas, et de tous les côtés, des immenses lits partout avec des brochettes d'inconnus qui dorment. Je me suis réveillée sous le bruit d'une dame énorme et je me suis mise bien malgré moi à analyser chacun des bruits de chacune des personnes du dortoir. Chaque soupir répété, chaque ronflement. J'étais pourtant persuadée qu'il était sept heures du matin. Que neni. Me voilà virant tournant dans mon petit périmètre personnel du grand lit pour vingt ne sachant pas combien d'heures cela va bien pouvoir durer ni si l'homme du bout va bientôt faire une pause à son concerto étourdissant.

Le 17 juillet, au réveil

J'ai dormi moins longtemps que ce que l'on prévoit de marcher aujourd'hui. Chocolat chaud qui fume, eau chaude plus poudre marron, du thé au chocolat c'est dégoutant. Les tables sont toutes en bois et les gens observent minutieusement des cartes de montagne étalées dessus. Chacun prévoyant son itinéraire de la journée. Je rumine que je veux rentrer comme un enfant dans une voiture qui en a marre du voyage lancinant et qui en plus, a envie de pipi. J'entends dire tiens si on faisait la boucle de cinq heures? Oh non oh non s'écrie la gamine mais rien n'y fait.

L'après-dîner du 19 juillet
Il est tard, l'heure de sortir se ballader dans les rues de la vieille ville. Je sors sur le balcon l'air est doux. J'ai attendu les nuits d'été depuis si longtemps que je les savoure chaque soir depuis mon arrivée. En face le stade de foot à peine éclairé. Et un homme qui fait des tours en courant dans la noir. Max arrive et lui propose en criant un coca avec une rondelle de citron. L'homme répond que c'est mauvais pour les sportifs. Nous restons là à observer le coureur nocturne infatiguable. Lou arrive je la porte à hauteur du balcon. Elle chuchotte "Il trouve pas le ballon le monsieur?". Le reste de la soirée sera comme une glace chocolat-vanille aux petites amandes effilées.

Le restaurant-plage du 20 juillet au soir

Un groupe organise un pique-nique plage à la lumière du petit restaurant où l'on se trouve. La table bringuebale au bord de l'eau. Je tiens quelques instants supplémentaires le temps de finir mes penne au saumon, quitte mes chaussures sous la nappe blanche et entame ma progression vers le large. L'eau paraît toujours plus chaude le soir, et l'air plus froid. Au loin, des lumières tracent des lignes sur l'autre berge, des petits chemins sinueux qui ressemblent à des guirelandes de noël en plein été. C'est presque l'heure du dessert. Un couple dîne au bout du ponton Gilles pense que c'est pour une demande en mariage la nana devrait s'en douter on guette la sortie de la bague. Ici le voiturier voyage en bateau à moteur. Il part chercher les gens sur leurs bateaux au milieu de la mer et les amène au restaurant. Le groupe aux guitares du pique-nique plage me donne des envies de sandwich à défaut de me joindre à eux je m'installe sur les galets froids du bord de l'eau ainsi je peux profiter de leurs chants et de leur bonne humeur. Je m'allonge et pose de la musique dans mes oreilles. Je me fixe en direction du ciel aussi noir que de l'encre de sèche et reste immobile ainsi un temps indéterminé.

Le 22 juillet dîner dans le petit cabanon de Cuers

J'aime la position que l'on a lorsque l'on s'allonge dans un hamac. Les pieds et la tête qui remontent en pente douce tandis que les fesses retombent. Et le fait que l'on pourrait aussi bien être en pleine forêt suspendue à deux arbres que l'on ne connaissait même pas avant d'arriver. Je sens une couette chaude s'allonger de tout son long sur moi et l'en remercie. Ma robe était trop courte pour couvrir le bas de mes mollets. Je m'emmitoufle tout en me disant qu'il ne serait finalement pas trop grave que je m'endorme. Rassurée par les bruits de repas un brin familial qui se déroulait à quelques mètres de moi. On me propose de la tarte que je refuse au creux de mon sommeil. J'aime ces moments où l'on s'assoupit en sentant de la vie qui s'agite tout autour, les oreilles qui frétillent sous le coup des verres qui s'entrechoquent, des rires et des voix que l'on connait si bien.

L'après-plage du 24 juillet

Le quai est recouvert de gens aux visages d'eau. Les maillots de bain dépassent des tee-shirt et des hauts de pantalon. Certains portent encore leur serviette de plage sous le bras. Ce n'est pas un quai grenoblois. Ca sent l'eau de mer et les chaussures qui démangent. Les gens transportent à bout de bras leur petit bout de plage de l'après-midi. Toulon gare. Notre train est supprimé. Le quai s'entasse. Marée de sable qui jonche tous les fauteuils et même les rembardes d'escalier. Si ça continue les enfants vont pouvoir faire des châteaux de sable sur les voies et je pourrais m'installer sur ma serviette entre le guichet et le composteur. Le prochain train a trente minutes de retard. J'ai quitté la semaine à Nice pour une semaine à Hyères. Si le soleil tenait dans des bouteilles je pourrais ravitailler tous les supermarchés de France.

Le 25 juillet à midi

Un jour on m'a dit tu aimeras conduire tu te sentiras voler au-dessus du sol en suspension dans l'air et te déplacer rapidement à quelques centimètres de l'asphalte. Alors à chaque fois que je prends le volant je guette mon impression d'envol. J'y songe souvent presque à tous les coups. J'attends l'autoroute pour enfoncer la pédale d'accélération jusqu'à la remarque qui vient tôt ou tard au détour d'un virage pour me suggérer de ralentir. Alors je replis calmement mes ailes. J'ouvre la fenêtre et écarte les quelques mêches de cheveux prisent dans la commissure de mes lèvres. J'observe dans le rétroviseur les têtes dodelinantes à l'arrière, la voiture sent le sommeil. J'ai toujours joué le rôle de celle qui dort sur la banquette arrière. Maintenant cela m'est impossible et je ressens comme l'impression d'avoir grandi soudainement sans avoir prévenu personne.

Début de soirée du 25 juillet

Il est l'heure de ceux qui rentrent tôt, de ceux qui rentrent à la première brise. Qui suivent le soleil pour regagner l'horizon lorsque l'ombre de la petite bordure de bois atteint les vagues qui viennent d'échouer de plus en plus haut. L'heure où les maillots de bain sont secs, rêches et bon à laver, celle où les baigneurs se font rares.On se rhabille, le monsieur ne crie plus pour vendre ses beignets et le glacier ferme. Je rentre par la longue route de l'almanarre qui borde les sortes de rizières qui rendent le paysage plus plat que plat. Je commence à avoir faim, je ne suis pas complètement sèche et le vent se lève. J'ai lu trois romans de Marc Levy depuis que je suis arrivée. Tous adressés à un certain "Louis", j'ai appris plus tard qu'il s'agissait de son fils. Je suis une petite assoiffée de livres qui a lu tout ce qui se trouvait dans sa valise. J'ai lu tous les journaux de la maison, les moindres rubriques de magasine télé et même les histoires de baleines. J'ai fais une pile de mes trois romans et il ne me reste pas une ligne dans que je n'ai pas déjà lu. Si ça continue je vais finir par m'attaquer aux recettes de cuisine de derrière les sachets de sauce béchamel.

Par une.brune.un.peu.en.vacances. le Lundi 30 juillet 2007 à 6:15
ton texte qui sent bon l'été
m'a fait sourire.
merci.
pour ces mots-caramel au beurre
qui adoucissent les choses
Par Valentine, la coupine de Camil le Lundi 30 juillet 2007 à 9:28
Miam ça sent bon les vacances ici <3
Lire, c'est si doux. Je dévore aussi. Alors je comprends tes envies ;)

Tout choupi ces petits bouts de vie.
Et coup de coeur pour les photos qui respirent le bonheur!

Bisous ^^
Par Ainsi-va-la-Vie le Lundi 30 juillet 2007 à 10:23
Ca sent les coups de soleil les coups d'amour les coups d'je t'aime avec du bronzage et des cheveux blonds platines. Des sourires et éclats de rire à chaque ouverture de porte. Tes pieds dansent dans le vide sur les photos et ça sent le soleil du sud et ça sent les vacances :)
Par britaned le Lundi 30 juillet 2007 à 10:56
Ah, ça y est tu es enfin revenue, je vais pour voir continuer a te lire. <3
Par 0h.wh0 le Lundi 30 juillet 2007 à 11:14
Magnifique pellicule photo j'adhère vraiment =) bonne journée
Par Elodie le Lundi 30 juillet 2007 à 13:29
Magnifique photo. Et très beaux textes.
Par ciel-contre-nuage le Lundi 30 juillet 2007 à 13:52
Marrant, j'te vois trop comme une meuf maxi insomniaque!
Par Tote le Lundi 30 juillet 2007 à 20:23
Y a plus : VAMOS A LA PLAYA ! Me gusta bailar (8) ...
C'triste.
Par rendez-vous.les.oiseaux le Mardi 31 juillet 2007 à 14:01
J'aime bien cette idée de "livre à particule"... C'est vrai que parfois on tombe sur des livres qui ne nous lacheront plus avant un certain temps, ou l'on se retrouve ou se découvre un peu, ou presque chaque phrase se colle à notre peau et nous fait frémir. Des mots dont on avait pas idée semble jaillir de notre propre poitrine. Et à chaque relecture, des nouveaux s'y glissent, les interpretations changent. Les passages que l'on n'avait que survolé, parce qu'ils nous étaient encore étranger la dernière fois, se dévoilent..
Par Camille le Mardi 31 juillet 2007 à 14:38
tu me donnes envie de vacances...... arf.
bisous pucette croquette.
Par Jenesaispas le Mardi 31 juillet 2007 à 16:52
De quel BAC es-tu dîplomé chère Jess ?
Simple question de curiosité...
Par Sans-queue-ni-Tige le Mardi 31 juillet 2007 à 17:55
Je passe en terminal, bac STI Arts Appliqués.
Par Mlle Thaiho le Mardi 31 juillet 2007 à 20:06
Ce que j'aime dans tes articles c'est que c'est fluide et que ça transporte genre super loin. Ca se voit que tu lis beaucoup, tu as cette aisance d'écriture propre à ceux et celles qui lisent beaucoup et aiment les mots. J'ai été à Hyères et j'allais à la plage de l'Almanarre, c'était il ya 3 ans je crois ! C'est un bel endroit pour bronzer en bikini. Le long de la route de l'Almanarre je crois que ça sentait les marais salants, je ne sais plus ! Il y avait aussi le parc d'attraction et c'était chouette !

Thaiho
Par Miroir.aux.Allumettes le Mercredi 1er août 2007 à 13:00
Quelles belles vacances tu as passé ;)

Et tu écris si bien ... ça me fait penser à Phillipe Delerme.
"C'est toujours bien", en particulier.
Certes, c'est un livre pour gamin, mais ça sonne exactement comme le font tes mots et puis c'est peut-être un tout petit peu un livre à particule.

Je suis une grande collectionneuse de dédicasses dans les livres.
Je les ai toutes recensées.
C'est drôle, je trouve.
C'est une façon un peu à moi de lire différement le livre, puisqu'après tout, s'il est dédicassé à telle ou telle personne, c'est qu'il lui ressemble, un tout petit peu.
Bisous<3
Par Le Chevalier Blanc le Mercredi 1er août 2007 à 19:55
à la gare TGV d'Avignon, le quai est un pontons méditérranéen, j'aurais aimé m'y endormir avec toi.
Par princesse-aux-petits-pois le Mercredi 1er août 2007 à 22:19
Cet article a remué le sable de dessous mon oreiller.
Merci pour les mots baumes. Je le reprendrai un peu cet hiver. J'en ferai tomber du sable, juste un peu si tu veux bien.
Par L0w'. le Jeudi 2 août 2007 à 14:58
Bonjour,
cela fait maintenant plusieurs mois que je viens régulièrement visiter ton blog, je sais c'est drôle mais je ne peux pas m'empêcher, je pense que tu dois avoir une sorte de don accrocheur, qui fait que quand on a effleuré tes mots forcément, on a envie d'y regoûter un peu plus. Tu as cette manière de raconter ton existence avec une fraîcheur une innocence presque enfantine & une candeur exquise. Ca faisait longtemps que je voulais te complimenter hé bien maintenant, c'est fait. De toute façon je savais que quels que soient l'heure le moment la date & le lieu ce serait maladroit, alors je me suis lancée, & j'espère que tu voudras bien m'excuser. & puis je trouve que c'est mieux de laisser sa trace, après tout les commentaires c'est pas fait pour les ratons-laveurs, n'est-ce pas (je n'aime pas les chiens.) ?
Voilà peut-être si j'ai de nouveau du courage je te relaisserai un commentaire. Un peu comme des mots volés que tu auras attrapés au vol, entre deux questions Louis XIV est actuellement roi de France ou non Jacques Chirac est-il président de la république oui ou non.

(ah oui au fait je suis à Marie Curie.)

Je t'embrasse,
Laura.
Par Drey* le Jeudi 2 août 2007 à 20:46
Mes mauvaises pensées, de Nina Bouraoui. Bien moins alléchant qu'un bon moelleux au chocolat pépites de noix, mais un délice de mots.
Par Sans-queue-ni-Tige le Jeudi 2 août 2007 à 21:02
Merci beaucoup je suis pressée de me plonger dedans!
Par art-tifi-ciel le Jeudi 2 août 2007 à 21:53
J'avoue que je n'ai pas le courage de tout ire ce soir, je le feraiplus tard. En tout cas la "pellicule photo yoyomoncousinchéridamouuur & toi" est super belle !!! <3<3<3
Par infinityonhigh le Jeudi 2 août 2007 à 23:10
tro chouette lé fotos^^
deja de retour moi je sui pa encore partie!
bonne continuation de t vac
bisous
maurane
Par rue-des-orangers le Vendredi 3 août 2007 à 16:35
Bon là tout de suite maintenant j'avoue j'ai pas le temps de tout tout lire.
J'ai juste vu le mot Nice caché quelque part là-dedans et tu vois ben moi aussi j'y suis allée à Nice mais une semaine après toi. J'ai souris sans m'en rendre compte je me suis dis tiens tu vois c'est marrant t'aurais pu la rencontrer.
C'est beau Nice, hein. Moi mon âme est à Paris et mon coeur est dans le Sud où le soleil le garde bien au chaud.
Ce que je préfère, c'est sûrement le marché parce que c'est le plus beau des marchés, avec les gens qui se poussent et se bouscoulent et avec des mots qui fusent de partout, j'adore les attraper au vol, les oh pardon mademoiselle les qu'est-ce qu'il fait chaud les eh tiens si on prenait moules-frites ce soir et puis tous ceux qu'on n'entend pas.

Bref.

Quand je suis revenue j'étais si triste parce que tu vois je viens de là moi, et à chaque fois que je pars c'est comme si on m'arrachait une partie de moi-même, presque tout ce qu'il a de rayonnant, de joyeux, de bavard, et plus aucune cigalle ne vient chanter pour moi.

Et c'est ce moment, à environ 20 kilomètres de chez moi, que choisit le liquide lacrimal pour couler doucement et silencieusement le long de mes joues roses ; je fais semblant de me gratter le coin du nez pour effacer une larme et j'enfonce mes lunettes de soleil pour ne pas qu'on soupçonne toute cette inexorable tristesse qui m'envahit, je me dis l'année prochaine je reviendrai, je reviendrai, mais en attendant, j'ai mal, tu vois.
Par aurore1 le Dimanche 12 août 2007 à 19:52
il est pas mal tn cousin!!;)
Par Une Dame Du Monde le Vendredi 21 décembre 2007 à 22:30
J'ai lu moi aussi Marc Levy ! Et il restera en moi gravé .... Je me suis attachée à ses personnages comme s'ils existaient réellement...

C'est regrétable de devoir sortir du livre lorsqu'il ne reste plus le moindre petit bout de page à dévorer, ne serait-ce que quelques lignes....
Par Sarah le Dimanche 22 juin 2008 à 17:54
Toulon, Hyères, l'Almanarre, plage de galets...
On va au même endroit je crois. Oui, oui, avec des gens qui crient pour vendre leurs beignets (on, ça c'est plus evident à trouver aussi) mais les petites rizières sur le coté... on ne peut pas s'y tromper.
D'ailleurs, ce sont les marais-salants. Là on des monsieurs récoltent le sel avec leur espèce de gros râteaux, comme on voit en illustration sur une marque de sel.
 

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