_Pourquoi aimez-vous les arbres ?
_Je pense que c'est parce qu'ils me font de la peine. Regardez-les par la fenêtre. Ils se font secouer comme des sauvages alors que nous, nous sommes rentrés quand le vent s'est levé.
_Oui c'est vrai.
Sans-queue-ni-Tige
Ils se serrèrent si fort dans leurs bras qu'ils passèrent l'un à travers l'autre et se retrouvèrent dos à dos.
Mardi 27 mai 2008 à 22:07
Commentaires
Par acces.au.bonheur le Mardi 27 mai 2008 à 22:11
Oh mais quand est-ce qu'il faisait beau comme ça? J'ai l'impression que ça fait une éternité qu'il fait mauvais.
Par le Mardi 27 mai 2008 à 22:12
C'était genre le 11 mai un truc du genre!
Par le Mardi 27 mai 2008 à 22:13
Les arbres me donnent moi un exemple à suivre alors, je voudrais être aussi forte qu'eux pour pouvoir résister aux tempétes!
Par le Mercredi 28 mai 2008 à 12:13
Et quand en corse les flammes ont envahi les forêts, ils sont restés là, enracinés, sans pouvoir rien faire, à se regarder se faire dévorer. Ils ont peut-être pleurés, mais ça n'a pas suffit.
Par le Jeudi 29 mai 2008 à 19:22
(et tu es toujours aussi belle)
Par le Jeudi 29 mai 2008 à 21:16
Hé Bonsoir.
J'apporte mon sac avec moi. A l'intérieur, tu ne le sait pas, ou du moins pas encore, tu y dépose à chacun de mes passage "ici" quelques sourires.
C'est impressionant la quantité de ressentis que tu réussis à glisser à travers les pixels.
Et de ce pixel, celui tout au milieu de ma page internet, de celui là exactement, il né un mot.
Puis ce mot chaleureusement entouré construit une phrase. Deux, trois ou quatre peu importe.
L'écriture comme passe temps pour parler du temps qui passe. Non. C'est bien plus que ça ce que tu accepte de nous partager.
Quand je reprend la route qui mène à mon histoire, celle de tous mes matins, de tous mes instants, de mes petits rien qui créent toujours un tout, il y a toujours alors ce sentiment. Il est fort. Fort et agréable, oui, il est fort agréable.
J'apporte mon sac avec moi. A l'intérieur, tu ne le sait pas, ou du moins pas encore, tu y dépose à chacun de mes passage "ici" quelques sourires.
C'est impressionant la quantité de ressentis que tu réussis à glisser à travers les pixels.
Et de ce pixel, celui tout au milieu de ma page internet, de celui là exactement, il né un mot.
Puis ce mot chaleureusement entouré construit une phrase. Deux, trois ou quatre peu importe.
L'écriture comme passe temps pour parler du temps qui passe. Non. C'est bien plus que ça ce que tu accepte de nous partager.
Quand je reprend la route qui mène à mon histoire, celle de tous mes matins, de tous mes instants, de mes petits rien qui créent toujours un tout, il y a toujours alors ce sentiment. Il est fort. Fort et agréable, oui, il est fort agréable.
Par le Jeudi 29 mai 2008 à 21:17
fort agréable :)
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