J'étais vraiment persuadée, que c'était la fin de la playlist.
Qu'après celle là, il ne resterai rien.
Il y eu un silence, et non, des notes ont repris.
Elles n'avaient rien à voir avec celles d'Etienne Daho, alors j'ai pensé,
une pensée fusée, que la musique était diffusée dans tout le train, par un inconnu,
derrière moi pourquoi pas. C'était une pensée de quelques secondes, le train envahie de notes
à la Tiersen sans être totalement de lui.
J'ai tourné la tête vers mes voisins qui n'avaient pas cessé de parler.
Là, j'ai compris que ma playlist n'était pas fini, que les notes ne dépassaient pas mes oreilles.
mais penser que ce morceau envahissait le train, c'était un peu comme apprendre
que finalement, le terminus serait eurodisney.