Dimanche 22 juin 2008 à 21:33



j'ai la gorge nouée les lèvres plates qui refusent de sourire
je ressens à nouveau ce genre d'émotions qui creusent
ça faisait si longtemps que j'avais oublié à quel point elles peuvent paraître
inguérissables et interminables.
demain je devrais tout oublier, demain il y a les épreuves
je ne pourrais pas observer le vide plus que le plein
comme ce soir, me laisser happer par le rien, je suis morose
il faudra faire attention

Par spunstars le Dimanche 22 juin 2008 à 21:35
Moi aussi je ressens ça, en ce moment, enfin, ce soir, aussi. J'espère que t'iras mieux et que moi aussi. Et puis bonne merde comme on dit pour tes épreuves ^^
Par Sarah le Dimanche 22 juin 2008 à 21:41
Inconstante en ce moment Jess.
Ne te perds pas s'il te plait.
Tu sais que ça va passer.
Par piti-arc-en-ciel le Dimanche 22 juin 2008 à 21:43
Je n'aurais pas pus dire mieux. Tout à fait ce que je ressent là depuis 3 mois !
Jvoudrais que se sentiment cesse et redevenir comme avant.
Mais je sais pas comment faire !
Par Miroir.aux.Allumettes le Dimanche 22 juin 2008 à 22:50
Moi je suis écartelée.
Ecartelée entre trois choses contradictoires.
C'est pire que morose, hein.
=)
Par Miroir.aux.Allumettes le Dimanche 22 juin 2008 à 22:50
Et puis je t'envoie du courage par coliposte,
par tlépathie,
enfin le plus rapide, quoi <3
Par marie(will) le Lundi 23 juin 2008 à 14:21
au fait, je voulais te dire, c'est vrai moi aussi les arbres je les trouve dingues, mais c'est surtout toi que je trouve dingue, c'est toi la tempête, au moins dans tes mots, dans ceux-là, parce que toi je te connais pas, on peut dire. tu m'as secouée! merde! tu as même failli me faire planter mon épreuve de maths tant j'étais secouée! c'est absolument dingue, ta louise. la cannelle, la tempête, tu dis les choses tellement simplement et elles libèrent tellement de force! je me suis sentie perdue. tu vas droit au but et moi je dérive toujours. je tricote et je ne sais jamais où je vais. je nage dans l'absurde. j'en ferais une force, c'est sûr. mais là, je pourrais dire encore une fois, mais quand même comme jamais, tu m'as scotchée jess. tu as le dont de la nouvelle. vraiment. tu as le rythme, tu as l'énergie, vraiment. je le sens d'autant que la nouvelle je la sens pas du tout pour moi. et là, du coup, c'est moi qui en redemande. tu crois que tu éditeras un recueil de ce genre de choses, un recueil de petites pépites fortes comme ça, un jour? c'est drôle, parce que ça fait l'effet du brut, sans les erreurs du brut. à se demander si ça a été travaillé tant que ça. je n'aime les choses travaillées qui montrent qu'elles sont travaillées. mais je ne pense pas que tu n'ai pas du tout travaillé. au moins dans ta tête. bon allez, j'arrête là. mais quand même, c'est dingue. tu vois ce que je veux dire.
Par Julia le Dimanche 29 juin 2008 à 8:05
Merci pour ces quelques lignes qui traduisent à la lettre prés mon état actuel. Les décéptions se posent sur mes épaules, frole mon coeur et s'écrasent à mes pieds, demain je serai face à l'examinateur, si il veut une belle lecon d'amour je pourrai lui en donner une, sinon.. il devra s'en contenter ..je n'avai pas la tête à réviser mes textes Mr le professeur.
 

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