Géographiquement, géographique il a réglé ça en une phrase, et ça m'a plombé des heures.
géographiquement c'était le mot de la dernière fois sur le tapis du salon et ensuite
je me le suis répété jusqu'à m'endormir.
c'était presque le plus important, qu'il m'encourage là-dedans
comme toujours je crois.
ça m'a un peu coupé en deux, comme son mille-feuilles,
ça m'a rendu inoccupée, lestée. Il ne me pose plus de questions.
alors rien je ne dis rien et je m'écarte, un pas après l'autre,
sur la droite la gauche je devient limpide.
et mon front se broie contre le refus.
Sans-queue-ni-Tige
Ils se serrèrent si fort dans leurs bras qu'ils passèrent l'un à travers l'autre et se retrouvèrent dos à dos.
Dimanche 2 mars 2008 à 12:04
Commentaires
Par Amy le Dimanche 2 mars 2008 à 17:35
La vie c'est souvent des hauts et des bas, des pour et des contre, des plus et des moins, als quand on ne sais plus bien il suffit de faire un grand tableau à deux colonnes pour finir par en déduire que le plus important c'est ce que l'on veux vraiment, à défaut du reste(qu'il soit important ou pas)! ;) bisous mzelle
Par le Dimanche 2 mars 2008 à 17:35
La vie c'est souvent des hauts et des bas, des pour et des contre, des plus et des moins, als quand on ne sais plus bien il suffit de faire un grand tableau à deux colonnes pour finir par en déduire que le plus important c'est ce que l'on veux vraiment, à défaut du reste(qu'il soit important ou pas)! ;) bisous mzelle
Par le Lundi 3 mars 2008 à 15:03
Enigmatique.
Quelque soit le problème, quand on a pris la décision de s'éloigner et qu'on s'y tient, le temps finit par arranger les choses. Il faut profiter des instants agréables et se dire dans ceux qui le sont moins que demain sera aussi un autre jours probablement meilleur.
Quelque soit le problème, quand on a pris la décision de s'éloigner et qu'on s'y tient, le temps finit par arranger les choses. Il faut profiter des instants agréables et se dire dans ceux qui le sont moins que demain sera aussi un autre jours probablement meilleur.
Par le Lundi 3 mars 2008 à 17:14
J'aimerais comprendre.
Mais je sais comme c'est douloureux les gens qui comprennent.
S'il y a des carrefours douloureux, il vaut mieux toujours prendre le chemin le plus difficile.
Mais je sais comme c'est douloureux les gens qui comprennent.
S'il y a des carrefours douloureux, il vaut mieux toujours prendre le chemin le plus difficile.
Par le Lundi 3 mars 2008 à 19:28
C'est bizarre, on s'éloigne et les mots restent avec nous, comme s'ils se collaient à nos semelles…
:-)
:-)
Par le Jeudi 6 mars 2008 à 22:54
Sache que moi je te soutiens, parce que tu peux y arriver, oui, et tu le mérites, toi, toute gentille fille, alors fonce, fais, et vois. Moi j'y crois. Pour toi. Un peu moins pour moi déjà ^^
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