
Aujourd'hui il a regagné le travail seul, pour encore deux semaines.
A présent, nous ne serons plus deux à nous assoir à la même table de la cantine,
à minuit. Je me demande avec qui il va manger, dans une petite heure.
Moi c'est demain, demain que je remplis la voiture pour Lyon, demain que je déballe tout,
que j'essaye de m'aménager un salon un peu différent de celui de l'année dernière.
C'est assez amer de repartir. Les quatre derniers mois étaient si riches.