Ce soir, Lou, c'était Ramirez.
Mardi 13 novembre 2007 à 20:41
Lundi 12 novembre 2007 à 22:47
A trop chercher l'a. on en oublie qu'il est là, tout près, trop près peut-être.
Trop près pour qu'on le remarque. On le cherche à bout de bras lorsqu'il est sous notre coude, on le cherche à vol d'avion lorsqu'il est derrière la porte. On le cherche tout court alors qu'il est à découvert et qu'il nous crie "Mais bon sang vous ne faites que passer arrêtez-vous prendre un café."
L'a. ça ne ressemble pas tout à fait à une projection de confettis colorés, à vrai dire ça ressemble plutôt à un immense champs de salades.
On en voit tellement en longeant l'autoroute qu'on y prête même plus attention. Et puis dans le supermarché quand il n'y en a plus on se dit "Bah mince qu'est-ce qu'il se passe c'est la guerre ou quoi."
Le soucis, c'est lorsqu'on se trompe, que l'on n'en prend pas un en forme de champs de salades, mais plutôt en forme de bonnes notes. Au début on se dit chouette une bonne note on fait la fête dans notre tête et au final ça s'estompe.
Oui, les salades on en a toujours besoin.
Les salades c'est vraiment comme l'amour.
Vendredi 9 novembre 2007 à 16:27
Jeudi 8 novembre 2007 à 23:08
Je vous ai jeté ça comme ça comme un gros caillou dans un lac plat, ou un quignon de pain bien sec dans une assiette de soupe. Je vous ai jeté mes deux liens à la figure et puis débrouillez-vous comprenez comme vous pouvez alors non je vais un peu expliquer. Il y a des années j'ai commencé à écrire des trucs des bidules, à bidouiller un premier blog, puis un second, à mettre quelques photos pour donner de la couleur à l'ensemble. Et là soudain un gentil monsieur m'a écrit dans ma boîte d'e-mails pour me dire écrit écrit moi je mettrais tes mots derrière une couverture avec un titre et ton nom dessus et ouais, ce sera bien. Alors j'ai fais encore plus de bidouillage avec de la vapeur qui sort de ma tête et des ampoules aux bouts des doigts et à l'autre bout des fils qui relient les ordinateurs entre eux dans le monde entier, le gentil monsieur, c'est qu'il avait vraiment confiance en moi dis-donc. Un jour que j'ai eu finis, je le lui ai envoyé. Alors il y a eu les corrections, les verbes, les temps, les répétitions, les confusions, les choses pas claires puis la couverture, le croquis, le titre, puis la taille du titre, la quatrième de couverture, l'extrait, la présentation de moi, la photo, où l'on ne me voit pas, et vraiment bien plus de tralala. Et enfin ça. Doux jésus merci Philippe. Je ne l'ai pas encore eu entre les doigts, je sais juste que cinq exemplaires cheminent actuellement jusqu'à ma maison et que si l'envie vous prend il paraît que les commandes c'est ici et que c'est pas très compliqué (il paraît).
Mercredi 7 novembre 2007 à 12:29