En quelques minutes j'avais pris conscience
que j'aurais pu rester des jours entiers, assise avec lui à cette terrasse
dans cette petit rue pavée
j'ai d'ailleurs répété plusieurs fois que je me croyais en vacances
j'étais en vacances, mais ça voulait dire ; à l'étranger.
ils ne faisaient pas restaurant, pourtant je n'avais qu'une envie
c'était de rester, de seulement demander quelque chose à manger
de demeurer face à lui, avec les musiciens sur la gauche,
qui ne se serraient pas arrêté de jouer pour demander de la monnaie.
j'ai levé la tête pour regarder l'immeuble, ou le ciel,
et j'ai vu ce nuage qui tentait d'entrer par la gouttière
ou les volets entrouverts.
la photo dégouline de bien-être, elle ressemble au bonheur.
Jeudi 7 août 2008 à 0:02
Commentaires
Par chronique.point le Jeudi 7 août 2008 à 15:13
elle est paisible, je trouve.
Par Mercredi 3 septembre 2008 à 12:34
le Vraiment cosy ton nouveau chez toi ...
Ca s'rait drôle de te croiser dans Lyon, je te reconnaitrai peut être, toi sûrement pas. J'oserai même p'têtre te dire bonjour. Quoique.
Désolé de continuer à écrire dans tes archives d'article, mes messages doivent sentir la poussière, mais je préfère, les gens ont moins de chance de les lire comme ça. Comme des vieux livres oubliés dans un grenier de grands parents.
Ca s'rait drôle de te croiser dans Lyon, je te reconnaitrai peut être, toi sûrement pas. J'oserai même p'têtre te dire bonjour. Quoique.
Désolé de continuer à écrire dans tes archives d'article, mes messages doivent sentir la poussière, mais je préfère, les gens ont moins de chance de les lire comme ça. Comme des vieux livres oubliés dans un grenier de grands parents.
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