ce week-end me voici chaleureusement invitée au
Salon "Blogs et Livres" de Paris 2008.
alors je ferais des mignonnes kassdédies
sur mes petits livres et je rencontrerai, Phil, et d'autres.
et j'ai peur, mais ultra.
Sans-queue-ni-Tige
Ils se serrèrent si fort dans leurs bras qu'ils passèrent l'un à travers l'autre et se retrouvèrent dos à dos.
Jeudi 9 octobre 2008 à 23:48
Commentaires
Par Castille le Vendredi 10 octobre 2008 à 9:39
si tu m'avais dit plus tôt je serais venue, han. J'enverrai peut-être ma maman ou Laurine te demander d'écrire Pour Delphine dans un de tes petits livres comme tu dis. Zut, j'aurais bien voulu être là.
Par le Vendredi 10 octobre 2008 à 10:37
Trop d'la balle. :)
Par le Vendredi 10 octobre 2008 à 10:38
(mais c'est pas une raison pour ne plus mettre de photos sur tes articles) ;)
Par le Vendredi 10 octobre 2008 à 11:04
Classe ^^ !
Par le Vendredi 10 octobre 2008 à 20:03
Si je n'avais pas eu ce p*t*n de contrôle de maths à réviser, tu peux être sûre que je serais venue...
Par le Vendredi 10 octobre 2008 à 22:20
AAAAAAAAAAH mais t'y vas quand j'y suis pas.
C'est malin zyvaaaa Jess!
tss tss
Bon, une autre fois alors, hein.
C'est malin zyvaaaa Jess!
tss tss
Bon, une autre fois alors, hein.
Par le Samedi 11 octobre 2008 à 22:06
Tu trouveras sans doute ce commentaire de retour de la capitale.
Tu ne t'es donc pas dédicacée ta nouvelle à toi-même, et on ne saura sans doute jamais pourquoi (ou pour quoi) tu recopiais les livres dans des cahiers.
Merci pour cette belle rencontre, pour la nouvelle, où je t'ai retrouvée à rougir comme à certaines questions pourtant honnêtes de cette après-midi, et merci pour ce blog : il se dégage de tout cela une douceur à vivre, sans doute plus apaisée que tu ne l'es en vrai.
Belle continuation, et à bientôt, ici ou ailleurs.
Tu ne t'es donc pas dédicacée ta nouvelle à toi-même, et on ne saura sans doute jamais pourquoi (ou pour quoi) tu recopiais les livres dans des cahiers.
Merci pour cette belle rencontre, pour la nouvelle, où je t'ai retrouvée à rougir comme à certaines questions pourtant honnêtes de cette après-midi, et merci pour ce blog : il se dégage de tout cela une douceur à vivre, sans doute plus apaisée que tu ne l'es en vrai.
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